Déa Arduinna déesse de la forêt d’Ardenne. Arduinna ou Arduena, Arduenna, Ardoina et Ardennes

, par Christophe Juppin

Dans la mythologie celtique, Arduinna est une déesse de la chasse et de la forêt. Son nom d’Arduinna semble venir du gaulois signifiant « ours ». Elle est représentée chevauchant un sanglier. Elle est devenue une déesse gallo-romaine, de la chasse et des bois, protectrice de la forêt d’Ardenne parfois assimilée à Artémis/Diane sous le nom de Diana Arduinna. Elle a sans doute donné son nom au massif Ardennais dont le symbole est aussi le sanglier.

Les premiers peuples : Période du Hallstatt

En raison de ses similitudes culturelles avec les peuples européens de l’âge du fer, la culture de Hallstatt est souvent considérée comme une culture proto-celtique.
La période complète de sa présence s’étend de 1200 av. JC à 450 av. JC environ - de la fin de l’âge du bronze au début de l’âge du fer.

Qui était le « prince » de Lavau dans l’Aube et la « Dame de Vix » en Côte-d’Or ?

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Une carte d’ensemble de la culture Hallstatt (vers 1200 - vers 450 avant notre ère) - marquée en jaune, et de la culture de La Tène (vers 450 - vers 50 avant notre ère) - marquée en vert.
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A l’époque Hallstattienne (époque du fer) entre 600 et 500 années avant notre ère, les échanges commerciaux (entre trafiquants méditerranéens et potentats du monde celtique) utilisaient les fleuves pour accéder à certaines matières premières contre des objets manufacturés. Cinétech n°34 : « L’énigme de la tombe celte » le 10 octobre 2018 à Nogent (52)

Période de la Tène

La période dite « de la Tène » (entre 450 av. J.-C. et 25 av. J.-C.) voit la migration des peuplades Celtes principalement vers l’ouest de l’Europe (en vert clair sur la carte ci-dessous). Les Celtes s’établissent en Gaule mais aussi en Belgique et dans les îles britanniques.

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Carte de l’expansion celte en Europe. En jaune, le noyau territorial Hallstatt, au VI siècle av. J.-C. ; en vert clair, l’expansion celtique maximale, en 275 av. J.-C. ; en blanc, le domaine lusitanien de l’Ibérie, où la présence celtique est incertaine ; en vert fluo, les zones où les langues celtiques restent largement parlées aujourd’hui. © Rob984, Wikimedia Commons, CC by-sa 4,0

Les origines des Celtes

Les Celtes se composent d’une multitude d’ethnies regroupées au sein d’une civilisation partageant des dialectes et des particularités culturelles communes. Installés au milieu du 2ème millénaire à l’est de l’Europe, ils sont poussés plus à l‘ouest par des peuples eurasiens comme les Cimmériens et les Scythes.

Ces mouvements migratoires sont aussi provoqués par des changements climatiques majeurs avec une dégradation du climat devenu plus froid et plus humide. En effet, deux poussées glaciaires sur 3 siècles se succèdent entre -1 000 ans et -300 ans entrecoupées d’une période d’accalmie.

Les peuples eurasiens, Scythes, Cimmériens et Sarmates disposant d’armes de fer s’installent dans l’Europe de l’est. Ils propagent à la fois aux Celtes une culture guerrière et de conquête mais les poussent aussi à quitter leurs terres pour s’installer plus à l’ouest.

Le terme « Celtes » provient des historiens grecs du 5ème siècle avant JC comme Hérodote à partir du terme Kel-kol issu d’une langue indo-européenne signifiant colon. Dans la littérature grecque, on les nomme aussi Galate signifiant envahisseurs.

Plus tard, l’écrivain romain, Caton l’ancien en -168 traduit le Galate grec en Galli transformé en langue française en Gaulois.

Généralement, on qualifie de Celte ceux qui ont envahi l’Europe et de Gaulois ceux qui s’installent en France.

Les archéologues ont trouvé des traces de populations tant celtiques (à l’ouest) que germaniques (au nord). Si l’on tient compte des fouilles archéologiques, on peut conclure que le territoire actuel de la Belgique, de même que le nord de la France, a pu être une zone de transition entre les cultures celtique et germanique. Par ailleurs, les écrits d’Hécatée de Milet (vers 550 à vers 480) et d’Hérodote (-484 à -425) nous apprennent également que les habitaient originairement une région qui s’étendait de l’ouest de la France jusqu’au sud-est de l’Allemagne, mais qui pourrait exclure le nord de la Belgique. Constitués en tribus autonomes et rivales, ces peuples étaient unis par la religion druidique et la langue celtique.

Les peuples celtes apportèrent avec eux, en plus de leurs Dieux majeurs hérités du panthéon indo-européen, le culte à des Déesses dont l’importance est commune à tous les Celtes. Ces Déesses étaient elles-mêmes héritières d’un passé très lointain, souvent issues du néolithique ancien et de la religiosité de ces ancêtres de la nuit des temps.

Les Celtes sont connus pour avoir intégré dans des proportions assez conséquentes des éléments de culte des populations européennes antérieures.

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Les Ardennes forment une région vallonnée qui se situe à cheval sur la Belgique, le Luxembourg, et le Nord de la France.

Les Ardennes forment une région vallonnée qui se situe à cheval sur la Belgique, le Luxembourg, et le Nord de la France. Le massif ardennais est une ancienne chaîne de montagnes, qui a été affectée par les plissements tectoniques calédoniens et varisques (aussi appelés plissements hercyniens).

Ce vieux massif forestier, traversé par la Meuse est le cœur de la région naturelle que l’on appelle Ardenne. La forêt est omniprésente, le grand gibier abonde.

Ce n’est donc pas un hasard que les Ardennes tirent leur nom d’une Déesse celte du nom d’Arduinna. Les Ardennes sont ainsi la terre de la Déesse Arduinna.

Arduinna déesse-Ourse

Le nom d’Arduinna semble venir du gaulois arduo-, ce qui se traduit par « hauteur », ce qui pourrait faire référence aux hauteurs boisées du massif des Ardennes. Mais la racine linguistique arduo semble également reposer sur une autre étymologie qui nous renvoie au mot « Ours », tel qu’on la retrouve dans des noms eux aussi signifiant « ours », comme Arthur, arctique, Artio,… Arduinna serait ainsi à l’origine une Déesse-Ourse. L’ourse est dans toutes les traditions païennes une figuration de la Terre-Mère, la grande Déesse nourricière.

Bien qu’il existe une représentation d’Arduinna chevauchant un sanglier, il n’en reste pas moins que la fonction de la Déesse va bien en-deçà de ce sanglier qui ne serait qu’un simple attribut.

Déa Arduinna, culte à mystères était très présent dans les régions voisines des Ardennes et chez les peuples belges.

L’un de ses sanctuaires les plus célèbres était le mont Saint-Walfroy, entre Margut et Sedan, dans le département des Ardennes (France), dans l’extrémité nord-est de ce département.
Sur le mont Saint-Walfroy, se trouvait un temple païen dédié à la Déesse. Les chrétiens détruisirent le temple de la Déesse pour y construire à sa place un ermitage.

Jules César dans ses « Commentaires sur la guerre des Gaules » dénomme Arduenna silva, la forêt Ardenne, la vaste région boisée entre la Moselle, le Rhin et le pays des Nerviens. (Les Commentaires de César sont parvenus jusqu’à nous grâce aux travaux de transcripteurs et copistes au IXe siècle, issus de l’espace carolingien.) En celtique Ar-Denn ou Ar-Tann signifie Pays des Chênes. De fait, d’immenses chênaies couvraient ce territoire, géants unissant la terre au ciel.

Pline l’Ancien qui fut, au premier siècle, officier romain en Germanie inférieure, c’est-à-dire dans les régions, écrit dans son « Histoire naturelle » que les régiments de cavalerie passaient sous les racines des arbres.

Déa Arduinna, déesse gallo-romaine

Sur le mont Saint-Walfroy, avant la christianisation forcée, il y eut la phase gallo-romaine, pendant laquelle Arduinna fut assimilée à Diane, la Déesse vierge de la chasse et de la nature sauvage, une assimilation qui respecta le profil et l’identité de la Déesse celtique Arduinna.

Au XIIe siècle, à Lunéville où jadis, sur la colline de Léomont, avait été vénérée cette déesse gallo-romaine Diana assimilée à la Diane chasseresse dont l’astre était la lune et le pouvoir naturel passait par les lunaisons.
L’Église catholique romaine promulgua des ordonnances interdisant ce culte qui semblait se perpétuer encore.

Les Gaulois vénéraient Arduinna, la déesse Ardenne, divinité des forêts et de ses habitants, assise sur un sanglier lancé au galop. Après la conquête, les Gaulois adoptérent la civilisation romaine qui leur apportait prospérité, ordre et sécurité. Respectant les dieux des peuples conquis, les Romains les accueillaient au Panthéon à Rome. Panthéon signifie « Tous les dieux ».

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statue ; Diane de Versailles, (2e quart IIe s. ap. J.-C.) Musée du Louvre

Et Arduinna devint tout naturellement Diana, l’Artémis des Grecs, déesse des bois, de la chasse, de la lune et des sources minérales guérisseuses, de la nature sauvage et de la chasteté. Fille de Zeus et sœur d’Apollon, Artémis était considérée la protectrice des filles et des jeunes femmes notamment pendant l’accouchement.. Court-vêtue, Diane courait dans les forêts, le carquois à l’épaule, l’arc à la main, suivie des nymphes des bois, les Dryades. Elle portait un croissant de lune dans les cheveux, en diadème inversé, unissant le cycle féminin au cycle lunaire.

Publié par René Gillet le 26 septembre 2013 dans https://www.sparealites.be


Arduinna est une divinité de la nature tout comme Artio, déesse des ours, et Epona, protectrice des chevaux et des écuries, protectrice du foyer.

Arduinna est une divinité maîtresse de la forêt et des forces instinctives, mère des animaux et des plantes. Elle porte un habit de chasse et tient un carquois en bandoulière. Brandissant en outre une épée de la main droite, dans un geste propre à ceux qui entendent exercer la justice, elle chevauche un sanglier, l’un des totems les plus importants parmi les animaux des Celtes.

Arduinna est l’aspect sauvage et originel de la grande Déesse, la Terre dans son jeune âge, la terre encore inviolée et vierge. À son culte sont intimement liées toutes les richesses des forêts ardennaises, richesses composées de ses animaux sauvages, de ses sources, et de ses arbres. Arduinna est la Déesse de la faune et de la flore qui veille à la fertilité et fécondité de tout ce qui croît dans ses bois magiques. Elle protège et assure toute l’abondance naturelle qui donne vie aux forêts, à ses animaux, ses baies, ses légumes sauvages, ses sources sacrées, ses plantes médicinales et ses arbres majestueux.

Il semblerait que le culte d’Arduinna soit longtemps resté vivace puisqu’en 565 CE, St Wulfila exhorta la population de Villers-devant-Orval (au cœur de l’actuelle Ardenne belge, province du Luxembourg) de cesser le culte rendu à cette déesse.

La forêt du Massif ardennais est décrite dans la littérature Fantasy.

La forêt d’arden

La forêt d’Arden est nentionnée dans le cycle des Princes d’Ambre (titre original : The Chronicles of Amber), une saga de fantasy écrite à partir de 1970 par l’écrivain américain Roger Zelazny.

Le monde dans lequel se déroulent les romans est centré sur la cité d’Ambre. Ambre a été créé par un seigneur renégat des « Cours du Chaos », Dworkin Barimen.
Les descendants (légitimes ou non) d’Obéron ont le pouvoir de voyager à travers les « Ombres » c’est-à-dire de se projeter, au cours de leurs déplacements, dans une trame d’univers qui correspond, d’une certaine façon, à un monde qu’ils se représentent mentalement de sorte qu’il leur est possible d’accéder à tout lieu qu’ils imaginent.

Le Royaume la forêt d’Arden est situé à cent cinquante kilomètres d’Ambre. La forêt d’Arden est un lieu capital qui tient lieu de frontière entre Ambre et les Ombres.

Un immense royaume vert qui s’étend sur presque tout le continent.
Les arbres se dressent comme d’immenses tours noires. Un peu de soleil reste accroché dans leurs plus hautes branches, formant des nids de phénix, tandis que la douceur de l’air toujours humide et vespéral estompe le contour des souches, des troncs, des rondins et des pierres moussues.

Les arbres gigantesques forment une voûte jusqu’à l’infini. Des arbres puissants et majestueux, d’un vert profond, riche, légèrement teinté d’or, avec une cime élevée qui prend son essor vers le ciel.

Les elfes de la grande forêt d’Arden

Fabien Cerutti, né en 1968 à Châlons-en-Champagne, est un écrivain français de fantasy historique. Fabien Cerutti est agrégé d’histoire et enseigne en région parisienne. Il a développé le Cycle romanesque « Le Bâtard de Kosigan » (2014-2019).

L’univers dépeint ressemble presque trait pour trait à notre moyen-âge mais on peut y rencontrer des nains ou encore des elfes. Ils ressemblent à la vision traditionnelle des elfes.

Dans « Les secrets du premier coffre »(2020), il décrit la cité des cimes d’Aêlen-saral-Desïl, au coeur de la grande forêt d’Arden. Vous y rencontrez la comtesse Cathern an Aëlenwil, dernière Faëdinane des elfes de Champagne.

Tauriel, l’Arduinna de Peter Jackson

Ce personnage crée dans les années 2010 incarne parfaitement l’imaginaire Celte. J. R. R. Tolkien est un auteur qui fascine toujours, bien au-delà de l’engouement passager qu’on pourrait attribuer à un auteur de littérature fantastique. Des chercheurs, dont Aurélie Brémont, ont fait coïncider la mythologie irlandaise et la mythologie tolkienienne pour préciser la parenté entre les Tûatha Dé Dânann et les Elfes, en s’appuyant sur les théories de Dumézil appliquées aux Celtes par Leroux et Guyonvarc’h. Tolkien élabore en 1910 toute une mythologie autour d’une langue construite.

Evangeline Lilly joue « Tauriel », un personnage de fiction apparaissant dans la saga cinématographique de fantasy "Le Hobbit 2 (La Désolation de Smaug) (2013) et 3 (La Bataille des Cinq Armées) (2014) ", un personnage qui ne sort pas de l’imagination de J. R. R. Tolkien. Il a été inventé par Peter Jackson pour féminiser la suite du Hobbit.

Ne cherchez pas ce personnage dans le roman de Tolkien. Tauriel, une elfe sylvestre de la Forêt Noire est capitaine de la garde du roi Thranduil. Ce personnage a été inventée de toute pièce par Peter Jackson et Philippa Boyens pour donner une touche féminine à la trilogie du Hobbit. Ce personnage correspond parfaitement à l’imaginaire d’Arduinna tel qu’il nous est parvenu. Il a donc sa place ici.

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Evangeline Lilly joue « Tauriel ». C’est une Elfe des bois dont le nom a été traduit par "Fille de la forêt"

Tauriel est une Elfe des bois dont le nom a été traduit par "Fille de la forêt". Elle est à la tête de la garde elfique des gardes-frontières de Mirkwood. C’est une grande guerrière, plus impulsive que ses congénères. Un trait de caractère dû peut-être à sa jeunesse : elle a à peine 600 ans, tandis que Legolas en a environ 1900, et son père Thranduil 3000. Autrement dit, notre elfe est en pleine crise d’ado.

Impatients et inquiets à la sortie du film, les fans reprochent évidemment au personnage de ne pas être dans l’œuvre d’origine.

Lors d’une conférence de presse, la comédienne Evangeline Lilly donne son point de vue sur l’insertion du personnage de Tauriel : « Mettre dans les salles neuf heures de divertissement et ne pas avoir un seul personnage féminin, cela reviendrait à dire aux jeunes filles qui iront voir les films qu’elles ne comptent pas, qu’elles ne sont pas importantes et qu’elles ne peuvent pas jouer un rôle central dans l’histoire.  » et elle ajoute « Je pense qu’il est temps que l’on arrête de faire des histoires où l’on ne s’intéresse qu’aux hommes, et notamment à des hommes héroïques, et je suis ravie que (Peter Jackson) ait fait de Tauriel une héroïne. »
« Je crois qu’elle est authentique, parce que Tolkien fait référence aux Elfes des bois, (...) fidèle au monde de Tolkien »

Comment peut-on connaître les dieux Celtes alors que ce peuple n’écrivait pas ?

Les Celtes ne nous ont pas laissé de textes écrits, mais nous disposons de deux sources distinctes :
 Les romains, mais la plupart des écrits consacrés aux celtes de l’antiquité , (notamment les écrits de Posidonios d’Apamée ) ont été perdus. Il faut donc aller chercher les textes de Jules César dans ses « Commentaires sur la guerre des Gaules » et Pline l’Ancien dans son « Histoire naturelle » .
 La façon dont les dieux Celtes se sont mélangés avec les dieux romains après la conquête.

Donc nous avons un syncrétisme (théorie qui cherche à opérer une fusion cohérente de plusieurs théories ou doctrines) dans lequel subsiste des éléments Celtes mélangés à des éléments romains.
Tout le travail des Celtologues est de mettre ces informations avec d’autres éléments : celui des mythes qui ont été repris par les poètes celtes, Irlandais notamment.

Ces poète ont repris les anciennes mythologies de leur peuple mais ils n’ont pas mis des dieux en personnages principaux. Ils en ont fait des héros importants pour que cela puisse correspondre avec le récit romain, puis chrétien.
Donc, quand on se rend compte qu’il y a des mythes en commun qui ressortent entre les récits de ces poètes irlandais ou celtes, on comprend qu’il y a un fond commun, une racine commune qui remonte à plus loin, et qui nous indique les dieux que vénéraient les celtes.

Les premières vies de saints sont parfois exploitables car elles mentionnent parfois des éléments de rites ou bien des divinités.

Dans la mythologie celtique, Arduinna (Arduena, Arduina, Arduenna, Ardvinna, Ardbinna, Ardoina) est une divinité celte topique de la faune. Elle est devenue une déesse gallo-romaine, de la chasse et des bois, protectrice de la forêt d’Ardenne parfois assimilée à Artémis/Diane sous le nom de Diana Arduinna.

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Troian @Troian_Leroy · 18 août 2022
Quel est votre dieu ou votre déesse préféré, toute mythologie confondue ?
Ma déesse favorite restera toujours Artémis, divinité de la chasse et de la nature sauvage. Je l’adorais quand j’étais petite, et aujourd’hui ça n’a pas changé.
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Ardenne celtisme et légendes Société des Écrivains Ardennais 2011
Illustrations Cyril Barreaux -couverture souple , 104 pages, 20 x 20, couleur - 20,00 €

"Quand la légende est plus belle que la réalité, on garde la légende."

Citation de "L’homme qui tua Liberty Valance", film de John Ford, sorti en 1962. Citation reprise dans "L’ange déchu de Brocéliande" en page 124, mars 2022, de Jean Failler.

Pour en savoir plus :

 Histoire des Celtes : qui sont-ils ? quand sont-ils arrivés en Gaule ?
 Découverte d’une tombe à char Gauloise exceptionnelle à Warcq (Ardennes) le 25 juin 2014
 Déa Arduinna déesse de la forêt d’Ardenne. le 26 septembre 2013
 Cinétech n°34 : « L’énigme de la tombe celte » le 10 octobre 2018 à Nogent (52)
 La Corporation des étudiants en pharmacie de Reims a publié "Phalludex" le 15 novembre 1982
 Alain Caniaux, nouveau Chargé d’innovation du Pôle de compétitivité Matéralia le 06 janvier 2020.
 Lionel Vuibert, un représentant de la métallurgie à l’Assemblée nationale le 28 Juin 2022
 Les sources de la Meuse inaugurées en grande pompe le 02 juillet 2022