Sur les pictogrammes, qui représentent notre hexagone, chaque secteur forestier est coloré avec le code suivant :
– en vert, en gros il n’y a pas de problème ;
– en jaune, le problème est bien présent ; les dégâts sont modérés ;
– en rouge, la présence et l’intensité du problème sont fortes ; les dégâts sont importants.
On note que, sur les 5 dernières années, l’ensemble de la forêt française a du faire face à un problème de sécheresse qui va de "bien présent" à "fort".
- Sur les pictogrammes, qui représentent notre hexagone, chaque secteur forestier est coloré avec le code suivant :
– en vert, en gros il n’y a pas de problème ;
– en jaune, le problème est bien présent ; les dégâts sont modérés ;
– en rouge, la présence et l’intensité du problème sont fortes ; les dégâts sont importants.
S’il est un domaine où il faut anticiper, c’est bien celui de la forêt : il faut de 50 à 100 ans entre la plantation d’un arbre et sa récolte. Armer nos forêts pour le changement climatique, la préservation de la biodiversité, et la fourniture de matériaux et d’énergie va demander un peu plus de monde et de moyens sur la question !
Quelques indicateurs de la santé des forêts (1989-2019)
Chaque année, le Département de la santé des forêts propose un panorama schématique de la santé des forêts à l’aide d’une dizaine d’indicateurs choisis pour leur importance économique et spatial pour mettre en perspective leurs évolutions spatiales et temporelles. Le territoire national est découpé de façon schématique en 8 grandes régions écologiques (3 grands domaines bioclimatiques : les plaines, les montagnes et la zone méditerranéenne), correspondant à des regroupements pertinents des grandes régions écologiques (GRECO) retenues par l’inventaire forestier national (IGN/IFN) (tableau 1 et figure 1).
- Le territoire national est découpé de façon schématique en 8 grandes régions écologiques.
- Pour chaque indicateur, l’intensité du problème a été évaluée selon une grille de niveaux symbolisés par des couleurs.
L’attribution de la note d’intensité de chaque indicateur s’appuie sur l’avis d’experts des pôles de la santé des forêts, fondé essentiellement sur l’analyse des observations réalisées par les correspondants-observateurs (plus de 10 000 observations par an à l’échelle nationale) ou par les personnels permanents des pôles eux-mêmes. Dans le cas de la processionnaire du pin (Thaumetopoea pityocampa), ces informations s’appuient principalement sur les données d’environ 500 placettes permanentes de suivi hivernal de cet insecte.
- Les insectes.
- Les champignons.
- Les dégats abiotiques.
Publié le 18 Février 2020 sur https://agriculture.gouv.fr/
- L’actu des bonnes nouvelles @La_BonneActu · 17 févr. 2021
Bonne nouvelle : Contrairement à ce que beaucoup croient, la forêt française se porte bien
Si elle ne recouvrait que 13% du territoire au 18ième siècle, c’est désormais 31% aujourd’hui. En métropole, la superficie forestière progresse de 0,7 % par an depuis 1980.
Pour en savoir plus :
– 5ème rencontre « Chimie du bois : le champ des possibles » le 08 octobre 2019 à l’Ensam de Cluny
– Projection-Débat « La Forêt et le réchauffement climatique » le 23 octobre 2019 à Gondrecourt-le-Château
– Congrès WOODCHEM sur la chimie du bois et ses applications, du 20 au 22 novembre 2019 à Vandœuvre-lès-Nancy
– 6ème rencontre « Chimie du bois : à la conquête des marchés ! » le 30 janvier 2020 à AgroParisTech Campus de Nancy
– Depuis le Jura, la sécherie de la Joux prépare l’avenir des forêts françaises en mars 2020.
– Les scolytes s’attaquent aux arbres de la forêt domaniale de Saints-Geosmes le 04 juin 2020.
– Quelques indicateurs de la santé des forêts (1989-2019) le 18 Février 2020
– Conférence-débat : Forêt et changement climatique le Jeudi 13 octobre 2022