Cinétech n°48 : « Demain tous crétins » le mardi 28 mars 2023 à 18h à Nogent (52) perturbateur endocrinien : Demain tous crétins

, par Christophe Juppin

Cinétech n°48 dans le cadre du mois de la santé : « Demain tous crétins » le mardi 28 mars 2023 à 18h à Nogent (52). La soirée se déroule au Pôle technologique sud-Champagne, dans l’amphithèatre de l’antenne de l’UTT à Nogent en Haute-Marne, au 26 rue Lavoisier, bâtiment B. La projection sera suivie d’un débat. (Parking gratuit et facile d’accès). Entrée libre dans la limite des places disponibles (120 places).


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Cinétech n°48 : « Demain tous crétins » le mardi 28 mars 2023 à 18h à Nogent (52)
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perturbateur endocrinien : « Demain tous crétins »
Film de 56 min de Sylvie Gilman et Thierry de Lestrade de 2017

« À votre santé ! » 1er>31 mars 2023

Évèvements pour tous publics

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« À votre santé ! » 1er>31 mars 2023 : Le mois de la santé et de la recherche médicale en Grand Est
Programme : Champagne-Ardenne
Le mois de la santé et de la recherche médicale permet de s’informer sur les avancées de la recherche médicale et les sujets d’actualité liés à la santé.

Le mois de la santé et de la recherche médicale en Grand Est

Découvrez le programme 2023 en Champagne-Ardenne

Le mois de la santé et de la recherche médicale permet de s’informer sur les avancées de la recherche médicale et les sujets d’actualité liés à la santé.

À l’heure où les sources d’information sur la santé et la médecine se multiplient, à l’heure où la fréquentation du web sur ces sujets est en forte hausse, « À votre santé ! » permet de dépasser les idées préconçues et de poser toutes vos questions aux scientifiques.

Cinétech n°48 : « Demain tous crétins » le mardi 28 mars 2023 à 18h à Nogent (52)

Baisse du QI, multiplication du nombre d’enfants atteints d’hyperactivité ou souffrant de troubles de l’apprentissage... les tests les plus sérieux révèlent ce qui paraissait inimaginable il y a 20 ans : le déclin des capacités intellectuelles humaines. Serions nous entrés dans une sorte « d’évolution à l’envers » ?
Au banc des accusés, les perturbateurs endocriniens qui ont envahi notre quotidien et menacent les cerveaux des bébés. Révélations sur un phénomène inquiétant. (Et conseils pour protéger les générations futures !).
Un film Yuzu films
La projection sera suivie d’un débat.
Organisé par : I Tego, avec UTT antenne de Nogent, le cluster Nogentech, la CCI Meuse-Haute Marne et Accustica.

« Demain tous crétins »
Film de 56 min de Sylvie Gilman et Thierry de Lestrade de 2017
en coproduction avec ARTE France, CNRS Images
Avec la participation de LCP – ASSEMBLÉE NATIONALE
avec le soutien du CNC et de la Procirep et ANGOA, développé avec l’aide du programme Creative Europe - MEDIA de l’Union Européenne

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On assiste à une augmentation impressionnante des cas d’enfants souffrant de troubles de l’attention, d’hyperactivité ou d’autisme. ... les tests les plus sérieux révèlent le déclin des capacités intellectuelles. Au banc des accusés, les perturbateurs endocriniens qui ont envahi notre quotidien et menacent les cerveaux des bébés.

Dentifrices, rouges à lèvres, savons antibactériens, détergents, plastiques… nous baignons dans une « soupe chimique » de perturbateurs endocriniens.

«  Demain tous crétins ?  » Le risque est réel, si l’on se réfère aux résultats des dernières études scientifiques réalisées dans les pays nordiques : le quotient intellectuel (QI) des générations nées après 1975 serait en déclin. Une baisse commune à tous les pays occidentaux, dont la France et l’Allemagne.

Ce « score d’intelligence  » obtenu par un test standardisé n’avait pourtant fait que croître jusqu’au milieu des années 1990. L’avenir de l’humanité, dépendant de tant de génies dans tous les domaines, serait-il donc menacé ? Comment prévenir le scénario catastrophe d’une érosion lente de nos facultés cognitives ?

La réponse pourrait bien se trouver plus près qu’on ne le pense, dans notre environnement-même…

Si la mesure du quotient intellectuel, notion introduite au début du XXe siècle, reste discutée, tant elle doit être interprétée en fonction d’un contexte, d’autres phénomènes inquiètent. Dans diverses régions du monde, comme en Californie, on assiste à une augmentation impressionnante des cas d’enfants souffrant de troubles de l’attention, d’hyperactivité ou d’autisme. Le mystère serait total si des savants n’avaient pas mis en lumière, ces dernières décennies, le rôle fondamental de la prévention des carences en micronutriments dès le début de la grossesse. Parmi eux, l’iode est un élément indispensable au fonctionnement de la thyroïde, dont les hormones interviennent directement dans le développement du système nerveux du fœtus. Or, le manque d’information est évident, et 44 % de la population européenne serait affectée : « la carence en iode constitue la première cause mondiale de lésions cérébrales évitables », peut-on lire dans un rapport d’enquête financé par l’Union européenne.

Cependant, le manque en iode ne serait pas seul responsable de ces troubles de la thyroïde. Une autre menace, plus insidieuse, pèse sur notre santé : celle des perturbateurs endocriniens, comme le brome, le chlore ou le fluor. Leur structure moléculaire très proche de celle de l’iode induit notre corps en erreur et interfère avec le fonctionnement du système endocrinien. Les scientifiques s’interrogent même sur leur causalité dans le développement de maladies comme le cancer. Problème : ils sont partout, présents à l’état de traces dans de nombreux objets de notre quotidien et contaminent l’air, le sol et l’eau. Dentifrices, rouges à lèvres, savons antibactériens, détergents, plastiques… nous baignons dans une « soupe chimique ».

PCB (biphényles polychlorés), retardateurs de flammes et autres pesticides ravageurs prolifèrent malgré les restrictions, tant les législations diffèrent d’un pays à l’autre. Les scientifiques tirent la sonnette d’alarme, aux États-Unis comme en Europe, mais peinent à faire entendre leur voix face à l’emprise de lobbies surpuissants qui minimisent l’effet de ces substances décriées.

Le cerveau, cet organe essentiel au potentiel exceptionnel, résistera-t-il aux assauts chimiques de notre société ? Alors que l’enjeu sanitaire est planétaire, ce documentaire propose, à partir d’un questionnement sur l’évolution de l’intelligence humaine, un état des lieux qui encourage l’information du plus grand nombre et invite à une meilleure coopération des pouvoirs publics. Une certitude : l’action est toujours possible…

La projection sera suivie d’un débat avec Nathalie MENAGE .

Directrice du pôle petite enfance de la communauté d’Agglomération Saint-Dizier et Blaise.
55 ans
Puéricultrice cadre supérieur de santé territorial

Apres une expérience de 20 ans dans la fonction publique hospitalière , Nathalie Menage deviens directrice de crèche en 2010.

Pour répondre aux besoin des parents et améliorer la qualité de l’accueil des enfants, Nathalie Menage pilote un projet qui vise à la reprise en gestion publique de plusieurs structures d’accueil du jeune enfant et des relais petite enfance de la Communauté d’Agglomération Saint-Dizier Der et blaise.

9 années plus tard , elle deviens directrice d’un pole petite enfance qui compte 177 places d’accueil collectif reparties sur 6 structures et 4 relais petite enfance qui regroupent environ 250 assistantes maternelles

Ce pôle compte 100 agents et concerne près de 1000 familles sur tout le territoire.
A travers ces missions, Nathalie Menage a travaillé sur une augmentation du champ de compétence du pôle petite enfance en proposant des projets relatifs à l’augmentation de places d’accueil collectif ainsi que la mise en place d’un service itinérant à destination des professionnelles de la petite enfance et des familles (projet innovant sur le territoire).

La Communauté d’Agglomération Saint-Dizier Der et blaise l’accompagne pour la mise en place de matériaux et pratiques visant à garantir la santé des enfants et des professionnelles .


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Nathalie MENAGE, Directrice du pôle petite enfance de la communauté d’Agglomération Saint-Dizier et Blaise


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Cinétech n°48 : « Demain tous crétins »
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Cinétech n°48 : « Demain tous crétins » le mardi 28 mars 2023 à 18h à Nogent (52)

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voici la liste des cinétech 2023 (sauf imprévu) :

 Cinétech n°48 : « Demain tous crétins » le mardi 28 mars 2023 à 18h à Nogent (52) https://vimeo.com/495891564
Dans le cadre du mois de la santé. Intervenante : Nathalie Ménage, Directrice du pôle petite enfance de la communauté d’Agglomération Saint-Dizier et Blaise.

 Cinétech n°49 : « Les pionniers de l’avion à réaction » le mardi 25 avril 2023 à 18h à Nogent (52) https://www.replay-tv.fr/replay/arte/044926-002/les-pionniers-de-lavion-a-reaction

 Cinétech n°50 : « Pourquoi les femmes sont-elles plus petites que les hommes. » le mardi 10 octobre 2023 à 18h à Nogent (52) Intervenant : Laurent Heybergerion maître de conférences UTBM (dans le cadre de la fête de la science du vendredi 6 au lundi 16 octobre 2023)

 Cinétech n°51 : « Les secrets de l’abeille noire » le mardi 07 novembre 2023 à 18h à Nogent (52) suivi par une présentation de Romaric Leconte (CEN CA), dans le cadre du mois du film documentaire.

Les perturbateur endocrinien sont, selon l’INSERM, une préoccupation sanitaire majeure. Mais c’est encore un sujet largement méconnu.

Les perturbateurs endocriniens regroupent une vaste famille de composés, capables d’interagir avec le système hormonal. Ainsi, ces composés affectent potentiellement différentes fonctions de l’organisme : métabolisme, fonctions reproductrices, système nerveux... Les sources d’exposition sont nombreuses et difficiles à maîtriser. Les conséquences biologiques de ces expositions sont quant à elles encore mal appréhendées et complexes à étudier. C’est pourquoi l’étude des perturbateurs endocriniens représente aujourd’hui un enjeu majeur pour le corps médical et les pouvoirs publics.

Comprendre la perturbation endocrinienne

Il existe de nombreuses définitions pour décrire ce que sont les perturbateurs endocriniens. Celle qu’a établie l’Organisation mondiale de la santé en 2002 est la plus acceptée : un perturbateur endocrinien est «  une substance exogène ou un mélange qui altère la/les fonction(s) du système endocrinien et, par voie de conséquence, cause un effet délétère sur la santé d’un individu, sa descendance ou des sous-populations  ».

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Et si l’humanité basculait dans la stupidité ? La nouvelle enquête scientifique !

Le système hormonal sous le feu des perturbateurs endocriniens

Le système endocrinien regroupe les organes qui sécrètent des hormones : thyroïde, ovaires, testicules, hypophyse… Il libère ces médiateurs chimiques dans la circulation sanguine, pour agir à distance sur certaines fonctions de l’organisme comme la croissance, le métabolisme, le développement sexuel, le développement cérébral, la reproduction… Il s’agit donc d’un système de communication entre organes. Les perturbateurs endocriniens altèrent le fonctionnement de ce système en interagissant avec la synthèse, la dégradation, le transport et le mode d’action des hormones. Ces molécules se caractérisent donc par un effet toxique non pas direct, mais indirect, via les modifications physiologiques qu’elles engendrent.

Historiquement, les perturbateurs endocriniens ont commencé à attirer l’attention des chercheurs dès les années 1950. Mais c’est l’affaire du distilbène qui, dans les années 1970, a fait exploser le sujet sur la scène scientifique et médiatique, alors même que le terme de perturbateur endocrinien n’était pas encore utilisé (voir encadré). Depuis, on connaît plus précisément les mécanismes d’actions de ces substances. Selon le produit considéré, ils vont :

 modifier la production naturelle de nos hormones naturelles (œstrogènes, testostérone) en interférant avec leurs mécanismes de synthèse, de transport, ou d’excrétion
 mimer l’action de ces hormones en se substituant à elles dans les mécanismes biologiques qu’elles contrôlent
 empêcher l’action de ces hormones en se fixant sur les récepteurs avec lesquels elles interagissent habituellement

En découle un certain nombre de conséquences potentielles pour l’organisme, propres à chaque perturbateur endocrinien : altération des fonctions de reproduction, malformation des organes reproducteurs, développement de tumeurs au niveau des tissus producteurs ou cibles des hormones (thyroïde, sein, testicules, prostate, utérus…), perturbation du fonctionnement de la thyroïde, du développement du système nerveux et du développement cognitif, modification du sex-ratio…

Aujourd’hui, la définition du champ d’action des perturbateurs endocriniens tend à s’élargir. Certains organes clés, qui ne sont pas considérés comme des glandes endocrines à proprement parler, produisent des messagers qui apparaissent elles-aussi comme des cibles potentielles pour les perturbateurs endocriniens : la leptine du tissu adipeux qui intervient dans la régulation du métabolisme, l’IGF‑1 produite par le foie qui agit comme un facteur de croissance…

A ce stade, il convient toutefois de préciser que la plupart des substances qualifiées de perturbateurs endocriniens sont le plus souvent seulement suspectées d’avoir ce type d’activité. Il existe en effet très peu de perturbateurs endocriniens avérés à ce jour. Cela est dû à la grande difficulté de démontrer qu’un composé exerce sa toxicité par la perturbation du système endocrinien. Cette toxicité découle souvent d’effets à long terme, qui peuvent n’apparaître que lorsque l’exposition a eu lieu à des moments précis du développement.

la suite sur le site de l’inserm


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Publié par Robert Barouki le 02 octobre 2018 sur le site de l’inserm

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Des produits qui nous empoisonnent !

Une liste évolutive des substances suspectées

D’après le rapport OMS-PNUE 2012, près de 800 substances chimiques ont des propriétés perturbatrices endocriniennes avérées ou suspectées. La liste de substances suspectées de ce type d’effets est modifiée régulièrement en fonction de la production de nouvelles connaissances. Parmi elles :

 Certains pesticides (organochlorés, fongicides, herbicides)

 Plastifiants (phtalates, Bisphénol A), retardateurs de flamme (PBDE), revêtements (PFAs)

 Médicaments : Distilbène (utilisé en prévention des fausses couches de 1940 à 1977), anti-douleurs (paracétamol, AINS, aspirine), antidépresseurs (Fluoxétine)

 Produits émis par les combustions incomplètes issues des incinérateurs, de l’industrie métallurgique et sidérurgique et à la pratique de l’écobuage des végétaux (dioxines, furanes, PCB),

 Produits d’hygiène (Triclosan) et cosmétiques (parabènes)

 Phyto-estrogènes (soja)

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Publié le 28 février 2022 sur le site de sante publique France.

Fertilité masculine : les phtalates mis en cause

C’est maintenant prouvé : les phtalates ont une responsabilité dans la baisse de fertilité chez les hommes. Dans une étude publiée dans Human Reproduction, des chercheurs français ont montré que les phtalates modifiaient la production de testostérone. Le Pr. Alfred Spira, professeur d’épidémiologie à l’université Paris Sud
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Publié le 12 avril 2012 sur https://www.allodocteurs.fr/

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Alerte sur l’effondrement de la fertilité masculine

Les troubles de la fertilité : État des connaissances et pistes pour la recherche – 2012

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Concernant les indicateurs individuels de la fertilité, de récents travaux de l’InVS, réalisés sur l’ensemble du territoire français à partir de bases de données existantes, ont montré des tendances temporelles convergentes des composantes du syndrome de dysgénésie testiculaire : baisse de la qualité du sperme dans un vaste échantillon d’hommes se rapprochant de la population générale (partenaires de femmes totalement stériles) sur la période 1989–2005 et, sur la période 1998–2008, augmentation des taux de cancer du testicule, de cryptorchidie et d’hypospadias.

Parmi les causes de l’altération de certains paramètres de la santé reproductive, on relève, indépendamment des causes génétiques ou constitutionnelles, tout d’abord la dimension comportementale (procréation plus tardive notamment pour les femmes et tabagisme entre autres), le surpoids, l’obésité et les expositions environnementales, notamment à certains polluants organiques persistants (tels que les PCB) et métaux lourds qui agissent à faible dose et exercent des effets différés dans le temps.

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Publié le 21 décembre 2012 sur https://www.inserm.fr

Baisse de la fertilité masculine : un premier seuil est atteint

La perpétuation de l’espèce humaine en Occident est-elle menacée ? Une chose est sûre : chez les hommes, le nombre de spermatozoïdes diminue depuis 40 ans. Pour atteindre aujourd’hui un seuil en deçà duquel faire des enfants devient plus difficile. L’enquête de Kheira Bettayeb.

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Pour dresser ces sombres prévisions, les chercheurs américains ont réanalysé 185 travaux réalisés un peu partout dans le monde, et portant sur près de 43 000 hommes dont le sperme a été prélevé entre 1973 et 2011.

Il est alors apparu que, sur la période étudiée, la concentration moyenne des spermatozoïdes dans les pays occidentaux a baissé de 1,4 % par an, avec une diminution globale de 52,4 % depuis 1973, soit de plus de la moitié !

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Publié par Kheira Bettayeb le 22 novembre 2017 sur
https://www.science-et-vie.com

Alerte sur l’effondrement de la fertilité masculine

La pollution et les modes de vie sont à l’origine d’une chute accélérée de la concentration des spermatozoïdes chez l’homme. Ce déclin est désormais observé dans le monde entier, indique une méta-analyse publiée mardi 15 novembre 2022.

Le déclin rapide de la fertilité masculine ne concerne pas seulement les pays du Nord, mais le monde entier. Loin de ralentir pour se stabiliser, le phénomène est en forte accélération. Ce sont les éléments saillants de travaux de synthèse, publiés mardi 15 novembre 2022 dans la revue Human Reproduction Update, les plus exhaustifs conduits à ce jour sur la chute de la concentration de spermatozoïdes chez l’humain.

Les causes de ce déclin font, depuis une vingtaine d’années, l’objet de nombreuses recherches, pointant des facteurs individuels liés au mode de vie (tabagisme, sédentarité, alimentation, etc.) et des causes environnementales liées à la pollution atmosphérique, à divers médicaments et à l’omniprésence de certaines substances de synthèse dans l’environnement et la chaîne alimentaire (plastifiants et pesticides notamment).

[...] au cours de ces quarante-six années, la concentration moyenne de gamètes dans le sperme de la population masculine générale est passée de 101 millions par millilitre (M/ml) à 49 M/ml. Un niveau déjà considéré comme celui d’un homme « subfertile », souligne Mme Swan. «  La France ne fait pas exception, précise Hagai Levine. En France, grâce à la disponibilité de données de bonne qualité, nous avons la certitude qu’il y a un déclin fort et durable, comme ailleurs dans le monde. »

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Publié le mercredi 16 novembre 2022 sur
https://www.egaliteetreconciliation.fr/

Publiéé par Stéphane Foucart le 15 novembre 2022 dans le journal Le Monde


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CINETECH CSTI @JuppinChris. 28 mars 2023
🎥 @CCIHauteMarne, @AnteUTTNogent52, @CNogentech @Accustica et @iTego8
79 personnes ont assisté à la projection du film Cinétech n° 48 dans le cadre du mois de la santé : « Demain tous crétins » le mardi 28 mars 2023 à 18h à Nogent (52). https://innovationaustrasie.com/Cinetech-no48-Demain-tous-cretins-le-mardi-28-mars-2023-a-18h-a-Nogent-52.html
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CINETECH CSTI @JuppinChris · 28 mars 2023
🎥 @AnteUTTNogent52, @CCIHauteMarne , @CNogentech, @Accustica, @iTego8
merci à Nathalie Ménage, Directrice du pôle petite enfance de la communauté d’Agglomération Saint-Dizier et Blaise, venue parler des perturbateurs endocriniens dans les crèches lors du Cinétech n°48 le 28 mars 2023
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CINETECH CSTI @JuppinChris · 28 mars 2023
🎥 @AnteUTTNogent52, (52) , @CCIHauteMarne , @CNogentech, @Accustica, @iTego8
merci à Geoffroy Prevost, chargé de mission @Accustica #CSTI, partenaire des Cinetech, venu parler du mois de la #santé dans la @regiongrandest #AVS2023 « A Votre Santé » lors du Cinétech n°48 le 28 mars 2023

Pour en savoir plus :

 Cinétech n°35 : « Un an dans la peau d’un bébé » le 28 novembre 2018 à 19h à Nogent (52)
 Cinétech n°44 : « Voyage en Haute-Marne, au cœur de la Prosthesis Valley » le 09 mars 2022 à 18h à Nogent (52)
 Cinétech n°44 : Projection de « Voyage au cœur de la Prosthesis Valley » le 09 mars 2022
 Cinétech n°44 : Tout savoir sur la "Prosthesis Valley"le 09 mars 2022
 Agglomération de Saint-Dizier : nouvelle feuille de route pour la petite enfance le 23 janvier 2023
 Cinétech n°48 : « Demain tous crétins » le mardi 28 mars 2023 à 18h à Nogent (52)
 Cinétech n°48 dans le cadre du mois de la santé : « Demain tous crétins » le 29 mars 2023